L'attracteur Trojan

Historique

On peut considérer que l’apparition de l’attracteur Trojan remonte à la première rencontre avec les pompiers qui doit se situer aux alentours du 31 janvier 2014. A partir de là, une volonté claire, un désir très ardent d’être « recruté » par cette « fameuse agence s’intéressant à moi » pointera le bout de son nez et durera de longs mois. Le moteur de ce désir, de cette pseudo-passion n’est pas l’ambition ni la volonté de puissance ou de pouvoir sur autrui mais plutôt un besoin de reconnaissance (1), l’attrait de la nouveauté et du secret (2), l’ego boosté avec la fierté d’avoir été « repéré » (3) et la possibilité d’envisager une situation professionnelle stable et donc une sécurité sur l’avenir (4). Pour ce dernier point, ce n’est pas tant un désir personnel que le désir de satisfaire mon entourage pour avoir « la paix ».

Le désir d’être « recruté » étant si fort, et ce y compris après l’internement, je peux considérer mon psychisme à cette période comme extrêmement fragile et perméable. En tirant correctement sur les bonnes ficelles au bon moment et en particulier sur celle de la reconnaissance, je ne peux pas exclure la possibilité d’implantation d’un trojan (cheval de troie) dans mon esprit. Évidemment, étant donné la pilule à avaler (mensonge sur tout, persécution de ceux qui parlent, suppression de l’indépendance, de la liberté individuelle, logique unitaire, totalitaire…), je ne peux pas non plus prétendre que ce trojan se serait implanté aussi facilement. Mais sans information à ce moment-là sur le surhomme, une grande partie de mon esprit était réceptive, prête à suivre et donc sous le charme.

Heureusement, dès le début, prudence et méfiance sont présentes grâce à la forte influence qu’exerce la théorie anarchiste sur ma pensée. Un dédoublement de la personnalité se met en place avec des désirs contradictoires et la nécessité de jouer sur plusieurs tableaux à la fois. L’impossibilité de me taire liée à l’alcool d’une part et par préférence intuitive pour la vérité d’autre part font pencher la balance du côté de l’indépendance et de la liberté. Cela me mène tout droit à l’internement du mois de juillet 2014.

Le cauchemar de l’internement et la découverte de mensonges politiques massifs à partir de l’automne 2014 diminuent progressivement le désir d’être « recruté » et augmentent le libertaire en moi, avec la volonté de dire la vérité. Pendant les 8 premiers mois de l’année 2015, je subis assez douloureusement les effets de ce dédoublement de la personnalité que je qualifie de territorialisation et déterritorialisation. Très tôt, j’ai conscience que les mensonges politiques que j’ai découvert me baisent la gueule, baisent ma vie. Car je sais que moralement et philosophiquement, je n’ai pas d’autres choix que d’œuvrer pour transmettre ces vérités aux autres et je sais bien qu’on ne me laissera pas faire. La gloire de se glisser dans la peau d’un lanceur d’alerte représente peu de chose par rapport à ce fait que je me sais « baisé » : le résistant qui est en moi est contraint d’avancer vers l’inconnu tout en sachant que la ligne suivie, en plus d’être dangereuse, n’a aucune chance de mener nulle part.

Ainsi donc, il me faut une autre vision des choses en parallèle pour tenir le coup, un angle plus positif, plus enfantin et plus égoïste : celui du collabo. Une petite partie de mon esprit se rassure donc en se disant que ce n’est qu’une sorte de jeu, un bras de fer dans lequel, peut-être, je finirai par faire entendre la vérité à mes proches et récupérer ainsi ma dignité (1) en obtenant un poste ici ou là (2). Car, à ce moment-là, je pense « service » et non pas « surhomme » et dans mon esprit, ce service a une dette envers moi étant donné ce qu’il a osé me faire. En effet, comment ce service « idéalisé » car « s’intéressant à moi » aurait-il pu commettre une faute morale aussi abjecte ? Il ne pouvait s’agir que d’un malentendu, d’un raté. On se rapproche ici du syndrome de Stockholm où l’on veut pouvoir trouver des excuses, éprouver de l’empathie envers son preneur d’otage. Ainsi les termes jeu , flirt, humour, dette d’un service embêté par sa faute sont autant de stable auquel l’esprit s’accroche quand il en a besoin pour avancer. Et rapidement, je comprends que deux stables sont en compétition et que « la vérité » pourrait devenir celle que je déciderai : la bataille pour faire éclater la vérité face à l’infamie d’un service qui laisse interner des innocents, mène des recherches sur des armes biologiques (1) ou bien la réconciliation de deux parties qui ont intérêt à s’unir pour avancer ensemble vers le bien (2). Rapidement donc je comprends, par la schizophrénie de mon psychisme, le problème posé par la notion de « vérité » et pourquoi cette dernière est écrite par les vainqueurs. La vérité devient souvent ce qui arrange. Ainsi cette dernière peut être relative, multiple, complexe : cela est vrai. Parfois aussi, souvent même heureusement, elle est simple et unique.

Cette schizophrénie interne illustre le manque d’hermétisme de mon psychisme vis à vis du surhomme : la possibilité théorique d’implantation d’un trojan existe étant donné l’angle « collabo/réconciliation ». La corde sur laquelle le surhomme aurait pu tirer pour faciliter cette implantation est la récupération de ma dignité vis à vis de mes proches. Évidemment, cela était difficilement envisageable car cela aurait consisté à dire la vérité, d’une manière ou d’une autre.

A l’automne 2015, le surhomme sort de l’obscurité. La pièce de théâtre que j’irai voir avec [Identité protégée] et [Identité protégée] me laissera penser que le surhomme gère la situation par la douceur et le rire (1) en m’accordant la reconnaissance (2). S’il s’en était tenu à cette ligne-là, je lui aurai mangé dans la main. C’est le devoir des philosophes que de s’incliner face à la douceur et au rire. Me sentant ridicule, défait, j’étais prêt à effacer l’ardoise de l’internement s’ils me redonnaient ce qu’il m’avait pris : mon boulot. On retombe ici sur le profond « La pensée d’un homme c’est son traitement » de Proudhon. Reconnu, moqué avec douceur, retrouvant un travail, une dignité vis à vis de mes proches, ma perception, ma pensée du surhomme aurait pu commencer positivement. Ainsi, au tout début de la sortie du surhomme de l’obscurité, il existait peut-être un chemin menant à l’implantation d’un trojan dans mon esprit. Même si, encore une fois, je ne vois pas bien comment j’aurai pu avaler la pilule décrite précédemment.

Le fait de me traiter de pute à grande échelle, le second internement avec menace de torture physique pendant la nuit puis l’ersatz de simulacre d’exécution du 6 décembre auront raison de ma santé mentale. Je ne penserais et ne ferais plus rien de cohérent pendant de longs mois, totalement déboussolé et terrorisé, pensant parfois avoir commis quelque chose de très grave, d’être le dernier des salopards et mérité une punition, pensant bien plus souvent néanmoins avoir à faire à une terrible dictature instaurant le silence par la terreur.

C’est ainsi que je découvre qu’un surhomme peut faire croire n’importe quoi à n’importe qui. Et en particulier, il peut persuader un homme de sa propre culpabilité et lui faire avouer n’importe quoi. Et pas seulement avec le maniement des objets « peur » ou « terreur ». Il me faudra les quelques mois du printemps 2016 pour récupérer déjà une envie de vivre puis un semblant de stabilité psychique. Mais j’étais rangé, défait, perdant, parfois honteux : je n’avais pas de nord et je ne savais donc pas vraiment où j’allais.

Petit à petit néanmoins renaît l’idée de dire la vérité par le dessin. La lecture de Fahrenheit 451 et la discussion avec [Identité protégée] relance le viol psychique puis la terreur. Pourtant un semblant de carapace psychique apparaît et l’impact de la terreur est moindre par rapport au mois de décembre précédent : la différence ? L’acceptation de la mort et de me faire buter. Car à ce moment-là, ce retour de la terreur, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je trouve ainsi la force de « fuguer » à Saint Jacques de Compostelle. Une fois dans le train pour les Pyrénées, mon psychisme gagne en hermétisme. Je sens que je ne peux pas et ne veux pas participer à ça. Quel qu’en soit le prix.

De retour à Paris, fin juin, je regarde de loin, le spectacle, le cirque « Antillais » au GEM que j’interprète comme une invitation à rejoindre l’unité dans le spectacle. Car cela fait déjà plus de deux mois que ma réponse est NON. Et elle n’a plus jamais changé. Même les quelques semaines de terreurs métaphysiques ne représentent pas une entorse à ce NON car elles ne sont pas un OUI mais un « je ne veux plus être, faites ce que vous voulez de moi ».

A partir du mois de novembre 2016, je retrouve la faculté de parler, de dire la vérité. Je ne le faisais pas par peur, pour ne pas attiser les foudres du surhomme mais je me rends compte que je ne pourrais pas vivre sans parler. Et je le fais donc à Longo Maï puis en rentrant de Longo Maï, en parlant à mes parents. A partir de là, je n’ai plus jamais cessé de m’autoriser à dire la vérité oralement. J’en ai même fait une règle « tu as le droit de dire la vérité ». Et je l’ai donc fait autant de fois que je l’ai estimé nécessaire.

L’inclusion de flatterie dans les messages envoyés remonte probablement au départ. Mais ce n’est que bien plus tard que j’identifie la possibilité qu’il s’agisse d’une forme de test, d’épreuve : faire l’ANE avec la carotte et le bâton c’est à dire l’ENA. Une formation pour les hommes politiques de demain. En janvier 2017, je décide donc d’inclure des verrouillages par le haut c’est à dire des verrous anti-ambition au cas où le fin mot de l’histoire serait l’ANE/ENA. Le premier verrou se nomme « matin/ Fahrenheit 451/aucun doute ». C’est un verrou fort qui fonctionne avec un codage arbitraire, que je suis seul à connaître, et de réalisation impossible en T1 : il n’y a qu’en T2 qu’il existe une ouverture possible. Il s’agit de vérifier si des éléments, fixés à l’avance, sont réunis pour accepter un pouvoir. L’avantage d’un verrou de ce type est que le NON opposé n’est pas fonction d’un argumentaire philosophique ou politique et donc susceptible d’être défait par un argumentaire adverse. Le NON opposé est codé arbitrairement (du point de vue de T1), métaphysiquement (du point de vue de T2) : il est donc théoriquement beaucoup plus solide. On voit ici l’avantage que procure la T2 : il permet d’être fou dans le référentiel de T1. Or il n’est théoriquement pas si simple de casser les codes d’un fou.

Bien-sûr, le problème vient du théoriquement et durant les années 2017 et 2018, à plusieurs reprises, je subis de fortes angoisses de crainte de ne pas être assez fort, assez solide pour dire NON et garder le verrou bloqué. Pour augmenter la probabilité de résister à de fortes pressions et ici, en l’occurrence, à de fortes flatteries, je crée la deuxième image des avions de chasse qui définit le niveau de pression supposé auquel je dois pouvoir résister (c’est une image qui fonctionne dans T1). Ce niveau de pression est placé à un niveau extrême.

En novembre 2018 a lieu ma reddition auprès de Mme [Identité protégée] suite aux événements du 21 novembre 2018 relatifs « au pacte avec le diable » : en lui remettant les 3 exemplaires de l’assurance maladie, j’accepte par-là, la mise en place d’un trojan « politique » dans mon esprit. J’accepte ainsi de faire tout ce qu’on me demande et en l’occurrence tout ce que me demande Mme [Identité protégée] : ne plus boire de café, boire de la fleur d’oranger chaque soir, aller à la piscine, faire de la boxe, tout. J’accepte la mort de mon « moi » et clame un « faites ce que vous voulez de moi » en priant pour que ceux qui m’imposent cela soit ceux qui combattent le diable. Cette reddition a lieu en partie suite à une interprétation de la règle « matin/farhenheit 451/aucun doute ». Cette interprétation me pose encore question aujourd’hui pour deux raisons :

Le problème posé par le deuxième point est sérieux. Il montre le coté factice du verrou, la facilité avec laquelle on peut le contourner, le casser, choisir l’interprétation favorite etc... Avec le recul de maintenant plus d’un an, je considère avoir probablement bien fait de suivre la règle tout en considérant que la règle « aucun doute / sûr de soi » doit, à l’avenir, être mieux respectée.

Quelques jours, quelques semaines après la capitulation et sans que je me le dise explicitement, j’ai récupéré petit à petit mes facultés mentales : le temps est passé diminuant l’influence de l’attracteur métaphysique sur mon psychisme. T2 s’éloignant, T1 a récupéré de l’espace et mon moi résistant sans trojan est petit à petit réapparu.

Nous sommes les 22 mars 2019. Je n’ai aucun trojan implanté dans l’esprit. Les verrous du bas comme du haut sont opérationnels.

Analyse et traitement

C’est l’attracteur le moins présent en termes de temps passé dedans, celui qui sollicite le moins de dépenses psychiques au point que j’ai même hésité à lui consacrer cet écrit. L’attracteur Trojan est positionné sur le terrain politique (T1) et non métaphysique (T2). L’ensemble de la discussion suppose donc toujours que l’on se place en T1.

Le trojan par le bas est défini comme une reddition psychique survenant à force de persécution. Ce trojan impose l’obéissance à un surhomme et transforme donc en clone blanc. Ce dernier fait ce que font les autres clones blancs : mentir, manipuler, persécuter… Aujourd’hui, je pense que l’implantation d’un tel trojan dans mon esprit ne pourrait se produire que suite à une terreur politique (supérieure à celle de l’automne 2015) ou métaphysique (supérieure à celle de novembre 2017). En fait, à de tels niveaux de pression, mon âme est si affaiblie, si mangée qu’elle dit « faites ce que vous voulez de moi ». Il me semble donc peu probable que je puisse agir en clone blanc dans cet état. La suite plus logique d’une telle destruction du moi, d’un tel désespoir est le suicide ou la folie complète.

Je n’ai pas de règle spécifique contre le trojan par le bas car l’essentiel de ma vie, de mes actes, de mes pensées consistent à l’empêcher. Donc s’il devait survenir c’est que les dernières barrières de défense psychique ont cédées et après cela, il n’y a plus de « moi ». Autrement dit, si le verrou cède c’est que j’ai donné tout ce que j’avais dans le ventre et que cela n’a pas suffi.

Le trojan par le haut est un objet plus complexe à appréhender. Empêcher un trojan par le bas c’est se défendre contre un surhomme. Empêcher un trojan par le haut c’est se défendre contre soi-même. Je ne suis pas happé par l’attracteur Trojan comme je le suis par les autres attracteurs. Je ne suis jamais dans un état d’esprit désirant pouvoir, puissance, cadeau ou quoi que ce soit qui me placerait sur un piédestal par rapport à un autre homme. Jamais je ne désire être un clone noir, un Dark Vador dominant un ou des clones blancs. Pourtant, je sais que l’attracteur existe car je suis sensible aux flatteries. Je perçois donc ainsi son rayon d’attraction mais je ne distingue pas bien sa taille, sa force ce qui m’inquiète car peut-être que je le sous-estime. Une extrême prudence est donc de mise et il ne faut jamais perdre de vue que l’ambition part toujours du point d’arrivée. Cela signifie que je peux ne pas désirer le pouvoir à un temps t puis une seconde, une minute, un jour, un an, dix ans plus tard, succomber à un désir ardent. Je me méfie de mon esprit car je sais que ce dernier est prompt à se trouver de bonnes raisons, de bonnes excuses quand il s’agit de bifurquer des lignes pré-tracées.

Voici un exemple typique qui me gêne. Dans l’hypothèse d’un surhomme anti-surhomme, ce dernier pourrait confier un pouvoir aux hommes (légitimité à s’exprimer, à être écouté) proportionnel au temps de résistance à l’oppression. Ainsi ceux qui tiennent longtemps (comme moi) se retrouveraient à un moment « en situation de pouvoir » par rapport à ceux qui se seraient rapidement soumis au surhomme. Comment alors prendrais-je ce privilège d’être écouté proportionnellement à mon temps / mon niveau de résistance ? l’accepterais-je ? Accepterais-je d’avoir un pouvoir d’orienter plus grand que celui de mon voisin, de mon frère qui, pour une raison quelconque se serait soumis plus vite ? Et bien la réponse évidemment est NON. Il s’agit typiquement d’un pouvoir que je me dois de refuser mais qui tape pourtant sur la corde sensible.

Comment avoir une idée à peu près juste de son ambition ? De sa volonté de pouvoir, de puissance ? Dès qu’il existe un test susceptible d’infirmer ou de confirmer une ambition, un désir de pouvoir inconscient ou caché, il faut mettre en place ce test sans délai. La réussite du test n’a de valeur qu’à l’instant t où il est réussi et il faut toujours considérer qu’on repart de zéro la seconde suivante même si on peut garder la satisfaction ou la fierté d’avoir passé le test.

Ainsi, je ne réponds jamais au coup de téléphone anonyme. Le téléphone sonne, peut-être s’agit-il d’un recruteur de clones noirs voulant me proposer une « sucrerie » ? Peu importe la nature du cadeau potentiel, ne pas répondre signifie toujours pour moi : tu viens de passer le test. Réjouis-toi l’espace d’une seconde si cela flatte ton ego et considère-toi à risque à partir de la seconde suivante.

J’ai rapidement vu que l’écriture de ces textes représentait également un test anti-ambition. En particulier l’attracteur Métaphysique qui met à jour une psychose grave et profonde (du point de vue de T1). Qui confierait un pouvoir à un fou ?

Ainsi l’attracteur Trojan est le plus pernicieux, le plus sournois car je dois être sur mes gardes à chaque instant étant donné son potentiel à me faire me trahir moi-même. Il faut donc constamment avoir à l’esprit la citation 83 de Sénèque :

« Ne compte pas trop vite et trop aisément sur toi-même. Secoue les divers replis de ton âme. Scrute et observe ».

Il y a trois points importants qui requièrent toute ton attention :

Avec ces trois leviers, on peut te manipuler. Tu dois donc y être très attentif et toujours vérifier et comparer avec tes lignes globales qui sont les bonnes, celles de Sophia.

Tout surhomme cherche à faire établir comme des faits, les axiomes suivants :

Et c’est en particulier sur ce dernier point que tu dois rester très vigilant. Car si tu cèdes ici, tu céderas petit à petit pour tous les autres. Et alors, la réalité pragmatique du pouvoir sera de forcer les autres à mentir, obéir, être mauvais et se hiérarchiser les uns les autres etc… Vérité, liberté, bonté ou égalité ne seront plus que des mots creux car tu te seras laissé dévorer par ce qui veut avoir l’apparence du pragmatisme mais qui représente en réalité, le mal. Crois-moi, si tu veux rester « pragmatique », reste dans Sophia et n’accepte jamais le moindre pied dans la porte.

Une caractéristique associée à l’attracteur Trojan est que tu es en attente. Tu attends quelque chose alors même que tu prétends ne rien vouloir. Ce que tu attends c’est que cet enfer se termine. Ne confond pas cette attente (qui est humaine et légitime pour qui est victime d’oppression politique) avec l’ambition. Car tu ne veux rien qu’un autre de tes frères n’ait pas déjà. L’enjeu pour toi est donc d’apprendre à te satisfaire de ce que tu as déjà, d’éprouver de la joie dans l’existence indépendamment de l’oppression dont tu es victime.

« La vie est suffisamment riche de ressource mais nous sommes trop avides de les multiplier. Quelque chose nous semble manquer et nous le semblera toujours. »

Garde en tête cette citation de Sénèque, essaie de venir en aide à tes amis et tente de te frayer un chemin vers la joie.

Courage Viafx24.

Viafx24. DS.