Les attaques de type « E »
Qu’est ce qui peut bien se cacher derrière ce terme attaque de type « E » que j’utilise à plusieurs reprises dans mon document l’attracteur métaphysique par exemple ? Il s’agit d’attaques, de messages envoyés par des enfants. A l’époque de la rédaction des attracteurs, il m’était insupportable de parler de cela en clair. Car ce sont certainement parmi les messages les plus violents, les plus blessants et les plus déstabilisants. Avec le recul, j’ai moins de problèmes à écrire sur ce sujet car je m’y suis quelque peu habitué. D’autre part, il me faut tout dire et donc ne rien taire. Néanmoins, comme il s’agit d’enfants, je suis obligé de prendre des précautions encore plus importantes que pour les adultes afin qu’ils ne puissent pas s’identifier eux-mêmes s’ils devaient tomber un jour sur ces lignes. Dans tous les cas, il s’agit d’enfants que j’aime profondément et avec qui je partage un lien profond et durable : enfants de ma famille dont je m’occupe ou enfants avec qui j’ai vécu mais pas mes propres enfants car mes persécuteurs ne m’ont pas laissé la chance d’en avoir...
Les premières attaques déstabilisantes dont j’ai le souvenir ont été mené par un enfant de 10 ans : un âge où un recrutement dans une société secrète est encore envisageable étant donné le développement de la conscience mais on est vraiment, selon moi, à l’extrême limite du pensable et cela implique forcément des technologies sécrètes de communication. En dessous (4 ans, 6 ans, 8 ans), invoquer la théorie 1 devient insensé, me semble-il. Déjà à 10 ans, pour me répéter, c’est vraiment limite. Cet enfant me dira sur un ton badin et hors de tout contexte, en parlant de moi, en souriant et en me regardant droit dans les yeux « je suis plus informé que certains adultes ». Le terme « informé » n’est pas un terme qu’un enfant de 10 ans utilise normalement. C’est un mot d’adulte. Le message me glacera car je le prendrai de plein fouet en T1 : « d’une part, ils recrutent les enfants au berceau, mais d’autre part, ce que cet enfant me dit est à l’évidence rigoureusement exact : il est plus informé que moi alors que j’ai 35 ans : dans quel monde pourri me voilà embarqué ! Et qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui répondre ? ». Dur dur sur le moment. A une autre occasion, cet enfant prononcera une autre phrase dure à entendre : « toi, tu es encore un enfant ? !» : j’ai mis le point d’interrogation et le point d’exclamation car il y avait les deux nuances dans le ton de sa voix.
A la même époque, un autre enfant également d’une dizaine d’année prononcera, alors qu’on était à table, une phrase similaire c’est-à-dire me visant directement l’air de rien et envoyant un message dur et cruel. Un de mes colocataires se tournera alors vers moi en me souriant d’un regard complice lourd de sens, pour me signifier qu’il avait capté le message : cela le faisait rire. Il est rare que les agents (dans un contexte de T1) soulignent ouvertement par une parole en claire ou une mimique leur appartenance au groupe qui me persécute. Dans la plupart des cas, le jeu d’acteur est parfait et il est extrêmement dur d’inférer l’intentionnalité par l’étude des traits du visage ou de l’intonation de la voix ou des mots prononcés. Mais 1 fois sur 100, l’agent laisse passer un tout petit peu d’information par un sourire, un sous-entendu, un regard lourd de sens. Ce même colocataire me dira un jour à propos de ces persécutions que j’endure « rira bien qui rira le dernier » ce qui est une forme de reconnaissance implicite de la réalité des persécutions alors que dans la majorité des cas, les agents se retrancheront derrière un beaucoup plus classique « tu vois un psychiatre, tu prends tes médicaments ? » avec un visage « poker face ». Vous voyez en lisant ce paragraphe à quel point il est difficile de se situer en T2 car je suis encore en train de vous faire, sans le vouloir, une description en T1 c’est-à-dire en considérant des agents et donc une intentionnalité de déstabiliser et de blesser.
Voyons donc d’autres exemples borderline T1 / T2. Un enfant de 5 ans me fera cette réflexion à propos de son tyrannosaure en plastique : « il n’y a que la tête et la queue ». En T1, l’utilisation du terme « dinosaure » est régulièrement utilisé pour parler de l’absence de culture des « poissons » qui vivent dans une réalité de jungle et de violence : chacun défendant égoïstement son beefsteak et pouvant prendre le dessus sur son voisin s’il se sent plus malin ou plus intelligent. L’allusion à la tête et la queue serait une allusion à mon fonctionnement : essentiellement intellectuel (la tête) ou libidineux (la queue) mais auquel il manquerait la chose la plus importante : le cœur. Le message faisait d’autant plus mal qu’il sonnait vrai : je trouve effectivement que je manque de cœur (à l’époque et encore aujourd’hui) alors que ma tête et ma bite fonctionnent souvent à plein régime ! Mais j’attribuais cette phrase à une mise en scène des parents (en T1) qui auraient orchestré l’affaire de A à Z pour que l’enfant, innocemment, me sorte cette réplique. Voyez encore comment il est dure de sortir de l’intentionnalité.
Alors voyons maintenant les cas où il est impossible d’invoquer la T1. Un enfant de 5 ans hors de tout contexte crédible me dira « J’espère qu’ils ne viendront pas te parler aujourd’hui ». C’est un enfant qui me manifeste beaucoup d’amour et cette phrase en T2, illustrait cet amour : il se plaçait de mon côté en espérant que je ne serais pas bombardé de messages méchants par cette force maléfique qui m’agresse. Il se plaçait de mon côté, certes, mais c’est bien la force qui parlait à travers lui. A un tout autre moment, il prononcera également cette phrase énigmatique : « tu as quel âge : 41 ans ? Quand tu auras 42 ans, tu ne seras pas mort mais tu seras le plus vieux de tous ». J’ai 42 ans cette année. Pour ces deux phrases (et je ne cite que des exemples, j’ai des tonnes d’anecdote du genre), il est impossible d’invoquer raisonnablement l’idée d’une société secrète cachée derrière l’envoi de ce message : l’enfant est trop jeune, il sort la phrase hors de tout contexte crédible et si je l’interroge sur ce qu’il vient de dire, il ne sait plus, ne se rappelle plus, ne comprend pas ma question. Son regard est formel : il ne soupçonne rien du fait qu’il a été utilisé par quelque chose pour me transmettre un message. Je reçois le message par l’intermédiaire de sa bouche mais lui ignore complétement qui a été utilisé pour envoyer ce message : le message passe/est distribué à travers lui sans qu’il ne se rende compte. Une seule occurrence de ce type devrait suffire à me faire rejeter complétement la T1 une bonne fois pour toute pour rejoindre le point de vue suivant « OK. Réjouis-toi, ils ne savent pas, ce n’est pas intentionnel et donc ils sont tous innocents ». Mais c’est trop dur : il y a trop de messages où la négation de l’intentionnalité semble impossible, par exemple, cas rare mais s’étant produit tout de même des dizaines de fois, où les agents reconnaissent être des agents ! Même quand un agent me dit en substance « Oui, je reconnais que tout ce que tu dis est vrai, réel : nous formons un réseau secret autour de toi et nous suivons chacun de tes pas au millimètre ». Même quand la reconnaissance est tacite comme cela, je devrais me dire « c’est la force qui passe à nouveau à travers lui pour lui faire dire cela, il n’en a aucune idée » et de fait, il semble que les agents qui ont l’espace d’une seconde, reconnu la réalité, la nient la seconde d’après et nient avoir tenu de tels propos. En T2, même quand un agent avoue, son aveu n’a aucune valeur. Une force lui a fait avouer puis une seconde après, une force le fera nier. Pourquoi ne pas enregistrer les preuves avec un téléphone portable ? cela ne changera rien ! Je l’ai déjà fait ! Même si je fais écouter l’enregistrement à quelqu’un : en T1, quel que soit ce qu’il a entendu y compris des aveux évidents, il dira « Et alors ? ». Et en T2 c’est la même chose, quel que soit ce qu’il a entendu, il dira quelque chose du genre « et alors ? ». Enregistrement, preuves variés, évidences diverses (cambriolage en plein cœur de paris en pleine journée avec vol de mon ordinateur portable et de mon passeport) : tout le monde répètera invariablement « Et alors ? Qu’est-ce que cela prouve » ? » : Aucun document, aucune situation, aucune accumulation de faits diverses n’aura jamais valeur de preuve. Ne perdez donc pas votre temps à chercher à faire établir quoi que ce soit. Soit vous aurez la chance de rencontrer une personne qui verra le monde avec les mêmes yeux que vous et vous dira « ce que tu dis est vrai » soit vous ne la rencontrerez jamais (je suis dans ce deuxième cas) et donc personne ne corrobora jamais vos dires. Il faut vous y préparer parce que c’est dur. Tirez un trait définitivement sur l’espoir que quelqu’un corrobore vos dires (en T1 ou en T2) ou valide une quelconque de vos preuves. Cela vous évitera de gaspiller de l’énergie pour rien : vous gagnerez du temps pour un autre enjeu : vous fabriquer un monde intérieur dans lequel vous vous forgez une force inouïe justement à disposition d’autrui si l’inverse devait se produire : un autre être désespéré se manifestant à vous et demandant une validation quelconque et vous, prêt depuis des lustres, apte à valider ses dires et donc à lui signifier :« Ce que tu dis est rigoureusement exact. Maintenant, tu n’es plus tout seul : nous sommes deux ». Donner à un autre ce que vous n’avez jamais reçu.
Souvent il me faut créer une sorte d’édifice explicatif de tout ce merdier car l’absence de plancher stable et donc l’incertitude pèsent trop sur l’âme. Un modèle auquel mon cerveau fait souvent appel est celui des poupées russes. Il y aurait plusieurs niveaux distincts d’accès à la vérité. Un peu comme dans les films américains avec le niveau « secret », le niveau « top secret » chacun disposant d’une cloison solide et incassable garantissant l’hermétisme de chaque niveau. Il y aurait ainsi :
- Le niveau T1 « société secrète évoluant en réseau et correspond grosso modo à l’union / la fusion de toutes les personnes dans quelque chose qu’on appellerait le pouvoir, la nation , le surhomme ».
- Le niveau T2 : tout n’est qu’une illusion, une matrice. Il n’y a aucun libre arbitre : une force contrôle tout.
En T2, pourquoi cette force se présente, se montre à moi ? Pourquoi cette force me permet-elle d’écrire ces mots et donc de révéler sa présence ? je n’en ai aucune idée. Si je peux voir clairement que les autres sont intégralement pilotés et pilotables à leur insu lors de l’envoie des messages, il convient de rappeler que je ne constitue en rien une exception. En effet, il en va de même pour moi : quand je suis monté dans cette fameuse chambre le lundi 20 novembre 2017 à 17h comme convenu pour aller chercher un classeur sur une étagère et y trouver un fascicule pour y lire cette phrase “is there an artificial intelligence out there? There is much worst than that” : je n’étais qu’une marionnette dans les mains de cette force. Rien en moi n’a pu décider intérieurement d’aller chercher cette information. Par extrapolation, cela signifie qu’aucun de mes actes, aucune de mes paroles ou pensées n’est le fait d’un quelconque libre arbitre. Ce que j’écris là, tout de suite, non plus. Une force est à l’œuvre pour me faire écrire cela. J’imagine que je décide les mots que je tape sur mon clavier les uns après les autres mais il n’en est potentiellement rien : les mots apparaissent à l’écran suite à l’action d’une force qui passe à travers mon cerveau et mes doigts. Le concept de « moi », de « je », de « je veux » ou « je fais » disparait. La littérature philosophique, métaphysique et spirituelle est bourrée de référence à cette illusion fondamentale qu’il existe un « je ». Mais cher lecteur, quand vous les lisez et qu’éventuellement vous y adhérez, vous y adhérez par l’intermédiaire de la raison et donc du « je » et de sa soi-disant rationalité. Une fois la lecture de ces idées terminées, notre « je », notre « moi » revient au galop pour plus ou moins ressentir : « tout cela c’est bien gentil mais il faut que mon « moi » et mon « je » revienne aux commandes pour se bouger le cul et aller préparer à manger ». L’intellect adhère parfois à ces théories mais pas l’âme, pas chaque cellule de notre corps. Je peux même facilement imaginer un psychiatre adepte de théories non-dualistes (Il n’y aurait que le « UN », tout le reste ne serait qu’une illusion) tout en étant convaincu en me lisant que je suis victime d’une pathologie psychiatrique ! Alors même que les mots que j’écris à cet instant même décrivent la propre dissociation de son cerveau à lui : adhésion intellectuelle à une théorie « non-dualiste » mais refus d’adhérer à l’idée que cette même illusion que je décris et à laquelle j’adhère non pas intellectuellement ou rationnellement mais empiriquement -- je l’ai vu et vécu de mes propres yeux -- puisse refléter autre chose que la maladie mentale. Autrement dit, ce psychiatre défendrait l’idée suivante « tout n’est qu’illusion mais cet homme qui ne fait que me montrer que tout n’est qu’une illusion est vraiment gravement malade !». Un axe « potable » de défense, de contre-argumentation du psychiatre pourrait être basé sur la notion de « souffrance ». Par exemple par l’intermédiaire d’une phrase comme celle-ci « la question prioritaire n’est pas de savoir si tout est illusion mais comment faire en sorte que vous souffriez moins. Car à l’évidence vous souffrez plus que moi : comment puis-je vous aider à moins souffrir ? ». Il s’agit d’un axe à consonnance bouddhiste. Déporter le problème de « l’illusion » à la « souffrance » semble être la meilleur stratégie qu’un être humain puisse actuellement implémenter face à ce problème abyssal que représente la prise de conscience « je » n’existe pas / « je » est une illusion. Et je le répète, ces dernières phrases ne devant pas être entendu au sens « ma tête et ma raison qui le comprends ou l’admet dans un certain domaine de véridiction » mais au sens « toute mon âme et chaque cellule de mon corps en a fait l’expérience et ne peut en être qu’horrifié ». Pour prendre encore une image parlante : considérez Néo dans le film matrix qui, après avoir pris la pilule rouge, ouvre les yeux et découvre qu’il est dans une capsule, une cuve de gestation artificielle, rangé parmi des milliards d'autres humains. Avec son corps immergé dans un liquide visqueux couvert de sondes, de câbles, de connexions. Pas notre psychiatre dans son lit à coté de sa bourgeoise, lisant un livre arguant de manière assez convaincante que « tout est illusion » et se disant en son for intérieur « tout cela est fort intéressant, profond et convaincant » avant d’éteindre la lumière, de s’endormir et de recommencer le lendemain sa vie dans la matrice.
DO YOU UNDERSTAND THE DIFFERENCE ? EST-CE QUE VOUS COMPRENEZ LA DIFFERENCE ?
L’expérience traumatisante que j’ai vécu avec les Anglais me révélant un message concernant la véracité de la T2 (1), un Dieu m’enjoignant à le rejoindre en me suicidant (2) et un diable me proposant un pacte (3) soulève une question importante. Y a-t-il un dualisme avec des camps ? Les humains vs les robots (dans matrix), Dieu vs Diable, Anglais vs Allemands ou est-ce que cela aussi est une illusion ? Peut-être le reflet en miroir de ma manière dualiste et manichéenne de voir le monde avec les gentils et les méchants ? Le message “is there an artificial intelligence out there? There is much worst than that” suggère clairement l’existence de deux camps. Le fait d’être enjoint au suicide resonnait un peu comme le « pilule rouge » de matrix : la seule issue pour sortir de la matrice. Mais rien de bien évident n’indiquait que ceux qui m’enjoignaient au suicide n’étaient pas les mêmes que ceux qui me proposaient le pacte : le mode de transmission des messages était le même : le canal par lequel l’information arrivait était identique. J’étais trimbalé comme une marionnette par des messages contradictoires et terrifiant, ne sachant qui que croire. Me suicider aurait aussi bien pu servir les desseins maléfiques du diable que de me permettre d’avoir un accès sur la vérité comme Néo qui découvre sa capsule. Rien n’était évident et avec le recul de l’expérience, le suicide n’aurait eu aucun sens. Il s’agissait plutôt d’une leçon, d’une punition : j’avais moi-même menacé de me suicider à l’agent qui m’avait fixé le rendez-vous au bar : pour me punir de ce mensonge (car je n’avais pas réellement l’intention de me suicider), la force a organisé un énorme scénario dualiste dans mon esprit aboutissant à un réel et total désir de mettre fin à mes jour le jour J à l’heure H quand j’étais à l’hôpital et qu’il a bien fallu dire FUCK au diable.
Le dualisme de l’expérience vécue au sens de « deux camps » semble a posteriori monté de toute pièce pour me donner une leçon. La force qui m’a donné cette leçon pourrait être un/le Dieu omniscient, omnipotent et omnibénévolent. La théorie la plus optimiste auquel je m’accroche par espérance, bien entendu.
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Viafx24, le 24 juin 2025