Les coïncidences troublantes

J’ai déjà décrit un certain nombre d’évènements bizarres dans mon article l’attracteur métaphysique et je ne vais donc pas tout réécrire ou recoller ici. Néanmoins je rementionnerai ici ou là des éléments utiles.

Vers 18 ans, Je regardais ARTE et m’interrogeais intérieurement sur la signification de l’acronyme correspondant. Instantanément est apparu à la télévision un programme de 20 secondes, expliquant l’acronyme.

En terme scientifique, il est facile d’évoquer les biais de confirmation (psychologie) ou la loi des grands nombre (probabilité) pour expliquer des telles coïncidences. Mais quand ce genre de coïncidences commencent à se produire des centaines de fois par an dans votre vie, les outils scientifiques deviennent impuissants à proposer une explication raisonnable.

Il y a des coïncidences qui sont facilement explicables en T1 via la citation de Ian Flemming, l’auteur de James Bond :

"Once is happenstance. Twice is coincidence. The third time it's enemy action."

En Français :

« Une fois, c’est un hasard. Deux fois, c’est une coïncidence. La troisième fois, c’est une action ennemie. »

Cette formule est très puissante pour résumer en quelques mots comment fonctionnent les services secrets. L’email ci-dessous (« 1 image vaut 1000 mots ») m’a d’ailleurs été envoyé par mes persécuteurs au moment même où je dissertais sur cette formule…


Cette citation de Ian Flemming illustre ce qu’est ma vie, non pas par des coïncidences troublantes des centaines de fois par an mais des centaines de fois par semaine. Ici nous sommes en T1. Mais aujourd’hui, je parle de coïncidences troublantes plus rares, qui ne peuvent pas être expliquées par l’action des services secrets. Dans le cas de l’acronyme ARTE, je n’ai pas exprimé ce questionnement à voix haute, c’était dans ma tête. C’est-à-dire qu’à moins de soupçonner une technologie secrète capable de lire dans les pensées, nous sommes contraints de chercher des explications dans T2. Les services secrets pourraient néanmoins potentiellement avoir développés des outils de guerre psychologique ayant pour objectif de déstabiliser quelqu’un en augmentant la probabilité d’occurrence de coïncidences troublantes ou de synchronicité semblant révéler (faussement) un ordre métaphysique caché. L’idée étant de déstabiliser ou de faire complétement dérailler quelqu’un…

Donnons quelques exemples. A partir de 2014, les évènements suivants m’ont dérangé, ne sachant pas si je devais plutôt les classer en T1 ou T2 :

Les quelques exemples que j’évoque ici ne convaincront sans doute personnes car je ne suis probablement pas en mesure de les mettre correctement en perspective. Pourtant, je le répète, à partir d’un certain nombre d’occurrence, évoquer les biais cognitifs ou les probabilités n’est pas raisonnable sur le plan scientifique. Quand en plus, les expériences vécues sont corrélées à des états intérieurs qu’on n’a jamais mentionnés à personne, la probabilité d’avoir affaire à une attaque de guerre psychologique en T1 devient extrêmement faible.

Je sens que mes histoires de coccinelle et de champignon ne vous convaincront pas tous alors je vais prendre un exemple nettement moins classique, vous en conviendrez. Il y a deux ans de cela, je me trouvais dans un ashram. Une partie de moi espérait faire une rencontre amoureuse même si je savais bien que cela m’était formellement interdit par les services secrets. J’avais établi un contact avec une femme qui m’avait transmis ses coordonnées et un semblant de flirt et de jeu de séduction se mettait doucement en place. Nous étions censés être quelque peu vigilant à nos états d’esprit dans cet ashram mais cela m’était impossible : je ne pensais qu’à cette fille et à l’opportunité de coucher avec elle. Je disposais d’une chambre seul et avant de m’endormir, je faisais ce qu’on fait dans ces cas-là : je me masturbais pour éviter d’être obnubilé toute la semaine par ces pensées obsédantes…

Parallèlement, j’avais pu remarquer que la littérature bouddhiste utilisait également les métaphores et le double langage pour transmettre de l’information secrète. Je donnerai l’exemple suivant relativement anodin mais notable néanmoins. En substance, c’est l’histoire de deux moines bouddhistes : un novice et un autre plus expérimenté. En tant que moines, ils font vœux de chasteté et ne doivent donc pas avoir de contact avec des femmes. Un jour, ils doivent traverser une rivière mais il y a une femme qui est trop petite pour pouvoir traverser sans risque et elle a besoin d’aide. Le moine expérimenté la porte sur ses épaules le temps de la traversée puis la repose et les deux moines continuent ensuite leur chemin sans la femme. Au bout de quelques heures, le jeune moine demande à l’autre : « tu n’es pas gêné d’avoir porté et touché cette femme ? ». Le moine répond « ma foi, je l’ai porté sur mes épaules pendant le temps de la traversée c’est-à-dire 5 minutes et c’est tout. Mais toi qui pense à cela depuis plusieurs heures, cela signifie qu’elle est encore sur ton dos ! ». C’est une histoire assez classique qu’on retrouve facilement ici ou là. Une interprétation possible pour qui n’est pas naïf c’est que pour supporter facilement le vœux de chasteté, il est préférable de se masturber de temps en temps (porter une femme sur ses épaules pendant 5 minutes, la rivière = le flux = l’éjaculation) que s’obstiner à ne pas la porter physiquement (ne pas se masturber) mais l’avoir mécaniquement et naturellement dans la tête toute la journée y compris pendant la méditation… Bref, cette histoire fournit une solution pragmatique au problème de la chasteté chez les moines, en langage secret et poétique.

Pourquoi je vous raconte cette histoire ? Parce que lors d’une séance de question-réponse dans l’ashram, une femme a pris la parole, parlant de ceci et de cela. Et moi à ce moment-là, je n’écoutais que d’une oreille et pensais essentiellement à la femme avec qui je flirtais et je me disais que le soir, il me faudrait probablement agir à nouveau comme le vieux moine… A ce moment-là, la dame qui parlait a raconté cette histoire des deux moines sans évoquer bien sûr le sens caché. Mais il n’y avait pas le moindre lien avec ce dont elle parlait juste avant donc le responsable de l’ashram le lui a fait remarquer : « mais pourquoi parlez-vous de cela ? ça n’a absolument aucun rapport avec ce dont vous parliez juste avant ? » Il était vraiment interloqué comme tout le monde d’ailleurs. Elle en a convenu et n’a simplement pas su quoi répondre : « je ne sais pas pourquoi j’ai raconté cette histoire ». En considérant la T2, moi seul savait pourquoi cette histoire avait été raconté. Je n’avais jamais mentionné à personne que je connaissais cette histoire ni que je m’étais intéressé à la potentielle morale cachée derrière. Il me semble vraiment tiré par les cheveux d’imaginer que le pouvoir en place, en T1, ait pu inférer mon état psychique libidineux du moment pour faire sortir cette histoire à point nommé… Ce jour-là, le thème du désir enflammé était omniprésent et il était question de « feu » partout : dans les discours, dans n’importe quelle livre ou brochure que j’ouvrais, l’alarme incendie s’est mise à sonner par erreur : PARTOUT. Tout cela est techniquement implémentable par le pouvoir, c’est vrai. Mais quand même ! Est-ce que je n’invoquerai pas pour une fois le rasoir d’Ockham pour admettre qu’une explication politique est vraiment alambiquée ? ici, la T2 semble clairement plus explicative. Je laisse néanmoins à ceux qui en ressentent le besoin de penser tout bas que c’est la T3 (je serais cinglé) qui est l’explication la plus probable… Il y a 20 ans de cela, quand j’étudiais la science à l’université, seule la T3 aurait eu une grâce à mes yeux alors comment reprocher aux autres de tomber dans la même facilité ?

N'oubliez jamais que je suis docteur en science c’est à dire habitué à penser en permanence en termes de biais et de probabilité. Donc quand un homme structuré et formaté ainsi vous dit que ce dont il est victime ne saurait tomber dans ces deux catégories usuellement évoquées pour écarter des hypothèses à caractère surnaturelles, peut-être faut-il justement écouter très attentivement ce qu’il a à dire. A moins de vouloir prendre le risque de tomber dans un biais cognitif inverse : systématiquement attribuer au hasard des coïncidences troublantes se produisant à une fréquence pourtant beaucoup trop élevée pour justement s’éviter d’avoir à considérer des hypothèses dérangeantes ou déstabilisante pour l’esprit.

Car ce biais inverse existe bel et bien même si on en on parle moins : si vous êtes témoin d’un phénomène incompréhensible -- par exemple un ovni que vous êtes seul à avoir vu -- il vous sera plus facile de rejoindre le narratif dominant que les autres vous opposeront (« vous avez eu une hallucination passagère, un moment de faiblesse ») afin de rejoindre la norme et la sécurité que fournit l’appartenance au groupe plutôt que de maintenir envers et contre tous ce que vous avez vu de vos yeux au risque de faire un passage douloureux en HP. La plupart des gens sont faibles : pour éviter la stigmatisation ou de paraitre bizarre ou se retrouver seul, ils répèteront ce que le groupe veut qu’ils répètent afin de jouir de la paix et de la sécurité offertes par le groupe.

Je continue encore avec un nouvel exemple. Ne doutez pas que je pourrais les multiplier à l’infini… Il y a quelques années, je circulais en ville en voiture et il a fallu que je freine assez fortement pour laisser passer un piéton sur un passage piéton. Tout s’est passé en une fraction de seconde néanmoins, j’ai eu le temps de voir dans mon rétroviseur que la voiture derrière ne m’avait pas vu freiner brusquement et s’apprêtait à me rentrer dans le cul. J’ai donc laissé ma voiture avancée encore 1 mètre à l’extrême limite vis-à-vis du piéton. Mais cela n’a pas suffi et la voiture m’a tapé dans le cul. Je suis sorti un peu en colère et j’ai vaguement gueulé mon mécontentement sur la jeune fille qui était au volant. Il n’y avait pas de dommages sévères et j’ai repris la route. Que pensez-vous qu’il se soit passé dans les jours qui ont suivi ? Et bien la même histoire mais dans le sens inverse. J’essayais de sortir d’une place de parking en marche arrière et j’entends une femme gueuler. Elle insiste avec des « oui c’est bien à toi que je parle » et donc je finis par comprendre que c’est effectivement à moi qu’elle parle : en tentant de reculer, je serais rentré dans le cul de sa voiture, sans même avoir senti quoi que ce soit ! Je sors de la voiture, je regarde et effectivement, je vois une petite trace sur ma voiture. Je me fais engueuler vertement et je me confonds en excuse. Idem : puisqu’il n’y avait pas grand-chose, elle décide de s’en tenir là et de continuer son chemin sans faire de constat. Vous comprenez où je veux en venir : c’est comme si à chaque action négative de ma part (ma colère contre la première automobiliste), il devait y avoir une action égale et opposée me signifiant : et toi ? C’est comme si un œil pour œil, dent pour dent était à l’œuvre constamment.

Il me serait également possible d’invoquer la T1 pour expliquer cette histoire. En effet, je n’ai pas senti le choc entre les deux voitures mais il y avait une trace de l’impact sur les deux voitures : la fabrication d’un tel scénario fictif est triviale pour les services secrets : ce sont les fondements même du métier ! Pourtant, la manière dont elle m’a gueulé dessus et plus particulièrement ses yeux : tout sonnait vrai. Le jeu d’acteur semblait absolument parfait. Chaque intonation, chaque regard : tout disait « Connard ! Je sors de ma journée de travail crevée, je suis coincée dans ce putain de bouchon et tu viens encore me casser les couilles en rentrant dans ma bagnole simplement parce que tu n’es pas foutu de faire gaffe. Et en plus, tu fais comme si de rien n’était, comme si cet impact n’avait pas eu lieu… T’es vraiment un connard de première… ».

Le problème sur lequel je veux très lourdement insister ici c’est le jeu d’acteur trop parfait. Dans ces milliers de situation apparemment factices que je vis quotidiennement, le ton de voix et le regard sont totalement convaincants. Si je hurle à la persécution et au faux, la personne aura sincèrement l’air étonné comme si elle ne comprenait pas un mot de ce que je lui racontais. Tout cela a eu lieu avec des milliers de personne et j’ai le temps de scruter le regard, chaque plissement des muscles du visage pour chercher à voir des traces de duplicité ou de double-jeu. Et dans 99% des situations, il n’y a rien de visible. Or en T1, il faudrait alors soupçonner que tous les gens aient tous été formés à être des acteurs prodigieux jouant le faux à la perfection. Mais ce n’est pas une hypothèse sérieuse. Ces situations impliquent des personnes de tout type, de tout âge, de tout origine : des enfants, des vieux mourants, des personnes dites (méchamment) « un peu simplet » etc… Ce n’est pas comme si je voyais avec certains, moins bien formés, moins bien entrainés, moins bien motivés, des traces de leur participation à cette mascarade visible sur les mimiques de leur visage : il n’y a rien. Par exemple, récemment, devant une situation à l’évidence montée de tout pièce, l’agent en face de moi s’effondre en larmes. Comment dans ces cas-là, croire encore à la T1 ? Est-ce que tous les agents ont des oignons dans leur poche pour simuler une crise de larme ? Est-ce qu’ils s’entrainent pendant des semaines pour être prêts devant moi le jour J à effectuer une prestation parfaite ? Tout cela ne tient pas…

Mais alors pourquoi ne pas admettre simplement la T2 et rejeter la T1 ? Parce que dans 1% des cas, ils avouent oralement à demi-mots que tout est monté de toute pièce, ils font les fameux sourires ou mimiques qui en dit long sur le faux de la situation… Vous allez me dire : pourquoi ne pas enregistrer secrètement ces fameux moments où les agents confessent la réalité de la situation ? Mais je l’ai déjà fait ! C’était à l’époque où j’étais naïf et je ne savais pas que tout le monde était dans le coup (voyez ici à quel point j’ai tendance à résonner en t1 !). Si je fais écouter l’enregistrement à d’autres agents, ils se contentent de hocher la tête et d’ajouter un vague « Oui et alors »… Pour qu’un enregistrement ou une série d’enregistrement aient un sens, il faut trouver une personne qui n’est effectivement pas dans le coup et je n’en trouve pas ! Sans parler de la logistique : laisser un smartphone enregistré 24H/24 c’est couteux en mémoire, en énergie et mes persécuteurs disposent d’un visuel (et d’un contrôle total) sur mon smartphone : ils savent donc que j’enregistre et ne vont pas confesser la réalité de la situation dans ces moments-là… Enfin, je m’amusais à cela au tout début quand je ne savais rien de rien. Maintenant, je ne vois que trop qu’enregistrer secrètement des conversations consiste à utiliser les mêmes outils que l’ennemi : le secret, la duplicité. S’il faut œuvrer pour changer de système (basé sur la vérité, la lumière et non le mensonge et l’obscurité), peut-être faut-il commencer par s’en rendre digne… Mais vous voyez encore que je suis à nouveau en T1 : il est extrêmement difficile de se maintenir en T2 car cela consiste à disserter sur une réalité sur laquelle on ne sait rien… Il est plus facile pour le psychisme de revenir sur une réalité (la T1) où l’on croit savoir quelque chose… C’est plus facile mais ce n’est pas forcément plus censé. C’est pourquoi je m’attelle à la description précise des deux théories. Peut-être y aura-t-il un jour un lecteur capable, en corroborant avec sa propre expérience, d’invalider l’une ou l’autre de ces théories ?

Allez, on continue avec une dernière série de coïncidences troublantes. Il y a un peu moins de 2 ans de cela, je devais commencer un nouveau travail : soigner des oiseaux. Evidemment, tout a commencé à tourner autour du mot-clé « oiseaux » autour de moi:

Tous ces évènements se sont produits à chaque évènement marquant en lien avec mes activités : la première fois que je visite le site web de l’association, la première fois que je candidate, mon premier jour de travail etc… : toujours à point nommé. Ce qui est valable avec les oiseaux est valable pour n’importe quel thème. Quoi que je fasse dans la journée, les mots-clés qui définissent ma journée seront replacés dans les discussions, dans les chansons, séries, jeux auxquels je joue… C’est tous les jours comme cela depuis 11 ans, cela n’a rien à voir avec de la surinterprétation délirante et je considère généralement que cela relève de la T1 : une guerre psychologique bête et méchante, orchestrée par des abrutis. Mais aujourd’hui, j’ai décidé de lui accorder une place en T2.

Avant de terminer ce chapitre, je voudrais relater une dernière expérience qui ne relève pas exactement de la coïncidence troublante mais je ne sais pas où la mettre donc j’ai choisi cette place, un peu arbitrairement. En juillet 2014, je suis interné dans un hôpital psychiatrique sous contrainte une semaine avant mon mariage. J’y resterai 5 semaines (un temps infini) et en sortirais meurtri à vie par ce que j’ai enduré. Cet épisode est relaté ailleurs en T1. Assez rapidement, je me rends compte que l’angoisse et/ou la camisole chimique me constipe : je n’arrive plus à aller à la selle. Je demande des laxatifs à l’équipe « soignante » et on me donnera des laxatifs lubrifiants, une sorte de gelée qui tapisse le colon, ramollit les selles et facilite le péristaltisme. Je prendrais cette gelée tous les jours sans constater néanmoins aucune amélioration. Je ne m’en inquiète pas vraiment car il n’y a pas de douleurs associées : je constate juste que je ne vais plus chier alors que mon transit digestif en temps normal me fait expulser, je dirais, facilement 300 grammes de merde chaque matin. Les dernières semaines de mon internement, on m’autorise à courir ce que je fais tous les jours et je n’ai jamais cessé de manger très copieusement durant tout mon internement. En 5 semaines, je n’ai pas souvenir d’avoir réussi à chier une seule fois. A ma sortie, je pourrais retourner aux toilettes normalement. Je m’attendais à une explosion de merde (chier d’un coup plusieurs kilos) mais il n’en fût rien : un étron normal, comme avant, d’environ 300 grammes (je vous rassure, je ne pèse pas ma merde, je donne juste un ordre de grandeur). Ou est-ce que je veux en venir ? Et bien si on considère 35 jours de privation de liberté (5 semaines) multiplié par 300 grammes, cela fait environ 10 kilos de merde qu’il manque… Je suis un scientifique : j’aime que les comptes soient ronds et je suis adepte de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. ». Je vais m’amuser à jouer à l’avocat du diable / au psychiatre pour expliquer ce manque apparent : « Les médicaments qu’on vous a administrés comme la loxapine ainsi que la détresse psychique dans laquelle vous vous trouviez à l’époque ont probablement altéré votre jugement ainsi que votre mémoire : vous êtes probablement allé à la selle sans vous en souvenir car sinon il y aurait eu un fécalome ou une occlusion intestinale grave, potentiellement dangereuse pour votre vie. ». Tout cela est bien gentil mais ne correspond pas à ce qui s’est passé car j’ai une excellente mémoire. Je n’ai pas pu chier pendant plusieurs semaines et il manque 10 kilos de merde dans l’équation. C’est du T2 pas très propre, je le reconnais 😊, mais c’est du T2 quand même.

Continuer la lecture vers le chapitre suivant Une expériences probante.

Viafx24, le 24 juin 2025