Lettre ouverte à Jean-Claude Van Damme

Cher Jean-Claude,

Nous ne nous connaissons pas. Je ne peux pas écrire mon nom ici mais mon identité n’est pas secrète et tu peux trouver ces informations . Je t’écris cette lettre le 7 février 2024 suite à ton film « JCVD » : il m’a semblé que tu as fait ou fais encore l’objet de persécutions secrètes or il se trouve que je suis dans le même cas. Quelques mots avant de commencer sur la forme : il ne s’agit d’une lettre ouverte que dans la mesure où je n’ai pas la possibilité de te contacter autrement (email etc…) sinon j’aurais choisi cet autre moyen et la lettre ne serait pas « ouverte ». Je compte donc sur tes amis ou sur la providence pour te transmettre mon message. D’autre part, tu pourras noter que j’ai choisi de te tutoyer. S’il te plait, n’y voit pas un manque de respect : je te connais par tes films depuis l'âge de 10 ans donc j’ai le sentiment de te connaitre depuis toujours. Tu dois avoir la soixantaine, j’ai la quarantaine : il m’a semblé que le tutoiement était plus logique étant donné que je ne dis rien de mal de toi et que je crois que nous sommes dans une situation similaire (persécutions). J’ai également traduit cette lettre en anglais au cas où la lecture te soit plus aisée ainsi mais, s’il te plait, garde en tête que mon anglais est imparfait (d’ailleurs mon français aussi !).

Avant de prendre connaissance du contenu de cette lettre, je te conseille d’avoir pris connaissance de l’analyse que je propose de ton film « JCVD » ainsi que de l'article « mon ptit’ cadeau pour Jean-Claude Van Damme ». Cette analyse consiste en une explication de texte pour aider les lecteurs « non-aware » à identifier la seconde ligne de lecture cachée dans le film. Comme je l’explique dans l’article, je ne prétends pas livrer la vérité (que je ne connais pas) mais je livre toutes les pistes qui me traversent l’esprit pour m’approcher de la dite-vérité : peu m’importe de dire de grosses bêtises, de faire d’énormes contre-sens ou de suivre des pistes contradictoires : je n’ai pas le choix puisque je ne sais rien. Il s’agit d’éclairer du mieux que je peux ceux qui en savent encore moins et qui sont maintenus dans l’obscurité de manière sordide. Dans mon analyse, je propose deux théories pour expliquer de quoi tu as été/es victime.

Je n’ai pas le sentiment d’avoir parlé de toi de manière négative ou écris de choses qui pourraient te nuire ou dont tu pourrais souffrir. Je crois au contraire avoir pris ta défense du mieux que je le pouvais. Il y a néanmoins deux choses qui pourraient te heurter :

J’espère donc que tu ne m’en voudras pas si j’ai dit quelque chose qui te heurte : ce n’est pas volontaire : je nage en plein brouillard, je fais de mon mieux et ce n’est pas si simple. Je te présente mes excuses si je t’ai fait du tort de quelque manières que ce soit.

Je ne me suis pas permis de disserter et d’extrapoler sur ta vie en me dissimulant derrière le rôle d’un observateur « objectif » qui se garderait bien de parler de lui-même. Je crois avoir livré des pans intimes voire ridicules de moi-même (cf. syndrome de napoléon par exemple) non pas parce que cela me plait de me dévoiler ainsi mais parce que c’est nécessaire, pour l’exemple entre autres : le mal se propage aussi parce que les gens ont peur d’écrire ce qu’ils ont fait, ce qu’ils sont, ce qu’ils pensent, la manière dont ils traitent les autres... Bref, ils comptent trop sur l’anonymat et sur le confortable « temps qui passe » pour effacer tous leurs méfaits et ne laisser aucune trace. Et je suspecte que ce soit d’ailleurs bien souvent cette attitude qui fait qu’ils ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font. Sans réflexivité sur le passé, sur les erreurs passées, sans prise de risque à l’écrit, il n’y a pas de leçons tirées, pas de changement non plus et les mêmes fautes se répètent inexorablement. Ainsi, je te demande de ne pas me juger sur ce que tu trouveras dans mes analyses ou même sur tout le site web : je ne suis pas parfait, ce que je pense n’est pas parfait et ce que j’écris non plus. Si je te demande de ne pas me juger c’est parce que c’est aussi ce que tu sembles demander à la fin de ton discours face camera : « il est difficile pour les gens de ne pas me juger, de m’accuser ». Je ne crois pas t’avoir jugé en aucune manière dans mon analyse. Il est vrai que j’attends la même chose de ta part.

Venons-en au fait. La raison de cette lettre. J’ai besoin de ton aide, Jean-Claude. Cela fait 10 ans que je subis ces persécutions horribles, ce viol collectif secret, bête et méchant. J’ai un petit espoir que tu sois capable de venir vers moi pour me transmettre tout ce que tu sais. Tout ce que tu sais au regard de T1 mais également tout ce que tu pourrais savoir au regard de la terrifiante T2. J’ai vu des choses en T2 qui continuent de me glacer d’effrois et je pense que cela pourrait bien être ton cas également. Il est possible également que nos persécuteurs aient réussi à me détraquer complétement le cerveau.

Note que cette aide n’est pas forcément à sens unique. Je pense que j’en sais moins que toi mais ce n’est pas sûr et je te dirai également tout ce que je sais dans l’hypothèse où toi aussi tu nagerais encore en plein brouillard. S’il te plait, ne tiens pas compte du ton peut être arrogant ou suffisant de mes écrits : je ne sais rien de la vérité et je t’appelle à l’aide, Jean-Claude.

Cette lettre n’est pas autre chose qu’un appel à l’aide.

Il y a plusieurs choses que je crains :

Dans Full contact, Lion réussit à déserter la légion pour venir en aide à son frère. Il se trouve que son frère est mort quand il rejoint enfin Los Angeles. Mais moi, je ne suis pas mort et je me réveille chaque matin dans ce cauchemar sans fin. Si tu veux m’écrire, voici mes 2 emails de contact (il faut remplacer le [AT] par le arobase) : persecution[AT]persecution.fr (redirection vers mon adresse personnelle) et contact[AT]persecution.fr (vraie adresse de messagerie). Utilise les deux. Même avec ces précautions, je crains « les problèmes techniques » (blocage/interceptions) et n’en déduit rien si tu ne recevais pas de réponse de ma part. Tu as aussi mon identité ici et mes écrits contiennent des traces sur les endroits que j’ai fréquentés, les gens que j’ai côtoyés... Si tu souhaites vraiment me trouver physiquement, c’est possible même si ce n’est peut-être pas si évident.

Qui sait ? Peut-être un jour, deviendrons-nous amis.

Quelle que soit la suite, je te souhaite le meilleur.

Viafx24.